Manufacture
« Ne craignez pas d’atteindre la perfection, vous n’y arriverez jamais. » S. Dali
Les produits sont fabriqués artisanalement, au sens noble du terme, en Haute-Savoie, France, par Daniel et Hugo. L’Atelier des Shapers Alpins, sis au Giffre n’a pas grand chose à envier aux industriels du secteur : commandes numériques, presses et autres grosses machines indispensables aux hautes exigences d’une fabrication artisanale très soignée sont présentes à l’atelier. Il n’est pas question, ici, de bricolages à la scie sauteuse, la production se fait au 1/10e de millimètre, avec une constante volonté d’approcher la perfection dans toutes les réalisations, en toute humilité.
La raison d’être de l’atelier, c’est une passion pour la technique. Réfléchir à des solutions, dégoter des matériaux, s’équiper de machines précises, massives, adapter, essayer, recommencer, réussir…
Aussi, c’est de partager la passion de la glisse, d’écouter les désirs de tout un chacun…
Les engins sont développés par leur clientèle, mélange hétéroclite de riders de tous niveaux. Nous pouvons nous appuyer sur des retours de qualité de très forts glisseurs et les échanges avec tous nos clients sont toujours source de réflexion et en tous cas nous amènent à ajuster toujours plus finement les produits que nous fabriquons, sur commande.
Mais la technique est indissociable d’une production qualitative, la démarche est de haut niveau. Si on peut bricoler des skis et les réussir, dans son garage, ici, bien qu’artisans, on cherche à optimiser la fabrication avec une logique presque industrielle, aéronautique… Cela participe à pouvoir proposer des produits particulièrement aboutis, bénéficiant d’une véritable expertise technologique acquise au gré des nombreuses expériences que l’atelier rencontre.
C’est qu’à force d’écouter et de répondre à des demandes particulières, si vous avez pu avoir un aperçu de la gamme actuelle, il y a eu bien d’autres aventures qui ne figurent pas au catalogue !
On a tout à apprendre des autres, de ce qu’ils nous imposent en défis techniques, on ne refuse que le loufoque…
Ces expériences nous ont amené à pouvoir vous proposer plusieurs types de construction, en lesquelles nous croyons et dont nous maîtrisons la mise en œuvre. La plupart des matériaux qui les constituent proviennent des meilleures sources disponibles, les mêmes que pour les meilleurs ateliers course des grands fabricants, des fournisseurs triés sur le volet, principalement européens.
Pour le reste, des matériaux, on se débrouille, on coupe du bois, trie des planches, colle de belles lames.
Construction Aluflex
On ne va pas en faire des tonnes, pour aller vite :
Construction sandwich, notre standard, la base de l’atelier, de haut en bas : Titanal, caoutchouc, fibre de verre, noyau bois de la spatule au talon et son chant ABS-profilés par ponçage, fibre de verre, caoutchouc, Titanal, semelle et carres, le tout collé à chaud sous presse à l’epoxy.
- Chant totalement périphérique, en ABS, collé solidement au noyau avant son profilage. C’est un détail loin d’être banal, à notre connaissance personne n’utilise cette technique qui accroît solidité, étanchéité et homogénéité de déformation.
- Carres larges, 2×2 mm périphériques ou avec talon aluminium selon modèles,
préparation/affûtage -0,5° en inférieur et 88° en latéral
- Semelle graphite (donc noire) P-TEX 4509, dense et glissante,
structurée et imprégnée fart VOLA MX901
Cette construction a l’avantage de proposer une rigidité en torsion qui permet aux engins de se brider sous l’effort. Seul le Titanal permet ce travail mécanique. Si vous lui demandez, êtes tonique, ça accroche. Ça taille. L’engin est vif, réactif, il accepte la vitesse sans broncher, vous lâcherez avant lui. Ce qui ne l’empêche pas d’être maniable et précis. C’est une construction sportive, racée. Mais qui sait rester accessible, son comportement génère une sensation de sécurité à toutes allures, le toucher de neige est doux…
Construction Aluflex Hybrid
Quasiment la même chose que la construction Aluflex, sauf que :
Construction sandwich, de haut en bas : vernis de protection, fibre de verre, Titanal, caoutchouc, noyau bois de la spatule au talon et son chant ABS-profilés par ponçage, caoutchouc, Titanal, fibre de verre, semelle et carres, le tout collé à chaud sous presse à l’epoxy.
- Chant totalement périphérique, en ABS, collé solidement au noyau avant son profilage. C’est un détail loin d’être banal, à notre connaissance personne n’utilise cette technique qui accroît solidité, étanchéité et homogénéité de déformation.
- Carres larges, 2×2 mm périphériques ou avec talon aluminium selon modèles,
préparation/affûtage -0,5° en inférieur et 88° en latéral
- Semelle graphite (donc noire) P-TEX 4509, dense et glissante,
structurée et imprégnée fart VOLA MX901
On conserve la fameuse rigidité apportée par le Titanal en torsion, qui permet aux engins de se brider sous l’effort. Sauf qu’il passe sous la fibre, et cela change le feeling. L’engin est toujours vif, réactif, il accepte la vitesse sans broncher, mais la sensation est changée, on y remarque une progressivité différente. Cela reste une construction sportive et racée. Et qui sait toujours rester accessible, son comportement génère une sensation de sécurité à toutes allures, le toucher de neige est encore un poil plus doux que l’Aluflex…
Curieux? Plus de détails…
Les constructions Aluflex sont les plus performantes parmi celles proposées par l’atelier. Elles sont également plus durables. C’est ce type de construction qu’on retrouve sur les skis qui courent en Coupe du Monde, pas autre chose, c’est dire. Le sandwich constitué de Titanal, alliage d’aluminium, procure rigidité en torsion, tout en conservant une déformation longitudinale homogène et dynamique. Le résultat est un ski sportif, qui demande d’avoir une tendance à glisser relativement vite, avec un engagement physique minimal pour tirer la quintessence de ces engins d’exception. Le pilotage est précis, incisif, efficace en toutes circonstances, il demande un bagage technique assez évolué. Ce matériel se destine donc aux glisseurs à la recherche de stabilité, d’aisance et de sécurité dans leurs évolutions.
Le type de construction utilisé, un sandwich Titanal / Caoutchouc / Fibre de verre / Bois, ou Fibre de verre / Titanal / Caoutchouc / Bois, collé à l’epoxy, est garant d’une solidité et d’une tenue dans le temps supérieures. On parle de qualité aviation. La conception est exempte de toute technologie douteuse, dépouillée au possible, en étant sûre et efficace, éprouvée. Les matériaux sont sélectionnés pour leurs propriétés, sans influence marketing.
Un engin qui bénéficie d’une construction incluant du Titanal, utilisé à bon escient, a la particularité d’être rigide en torsion (mais pas en flex!) et aussi et surtout celle de se brider, permettant un ancrage de plus en plus prononcé sous l’influence de la pression exercée. Il en résulte une accroche phénoménale et une grande précision de pilotage. Ce matériau n’empêche pas un flex très progressif et une réactivité exemplaire, bien au contraire.
Le Titanal est un alliage d’aluminium produit par la société autrichienne AMAG. C’est un matériau isotrope, ses propriétés mécaniques sont identiques dans toutes les directions.
Les noyaux bois (frêne blanc ou mixés avec bambou, paulownia, peuplier…), sont en fil régulier et continu, sans nœuds ni aboutages, leur profil est calibré par ponçage de la spatule au talon, jusqu’au millimètre, avec une précision au 1/10e de millimètre.
Les chants en ABS (une formule spécifique à cette application) viennent épouser avec précision les lignes de côtes et donc les carres. Ils forment une ceinture étanche et résistante autour du noyau. Cette particularité de fabrication, qui demande beaucoup de temps et d’application, contribue à une déformation très homogène et à une solidité qui font la réputation de la marque.
Y contribue également, l’utilisation massive de caoutchouc, très fin, sans compter sur son coût important, qui facilite le glissement entre les matériaux et procure un amortissement, associé au bois, sans égal. La douceur d’un engin Aluflex ou Aluflex Hybrid, en terme de toucher de neige quelle qu’elle soit, molle ou dure, y est pour beaucoup.
La fibre de verre, d’épaisseurs et de couches variables selon les besoins, apporte un rôle moteur, en ce sens qu’elle restitue l’énergie de déformation, ce qui donne rebond et réactivité aux engins. Fibre bi-directionnelle, câblée. Propriétés mécaniques quadriaxiales, anti-torsions.
En ce qui concerne la glisse, nous utilisons ce qui se fait de mieux en la matière. Cette semelle de densité élevée (la plus efficace sur toutes neiges) P-Tex 4509, est soigneusement structurée et fartée. S’y ajoute la propriété d’inertie thermique du Titanal, au contact de la semelle, et vous goûtez à la glisse absolue, sans retenue…
Les carres, en acier trempé, larges (2×2 mm) pour plus de solidité et de tenue aux affûtages répétés, sont tunées, négatif en inférieur et positif en latéral. Elles sont la plupart du temps périphériques, formant une solide ceinture autour de l’engin.
Certains modèles ont un talon (et spatule, plus rare) en aluminium.
Construction Fiberflex
On ne va pas en faire des tonnes non plus :
Construction sandwich, de haut en bas : fibre de verre, noyau bois de la spatule au talon et son chant ABS-profilés par ponçage, fibre de verre, semelle et carres, le tout collé à chaud sous presse à l’epoxy.
- Chant totalement périphérique, en ABS, collé solidement au noyau avant son profilage. C’est un détail loin d’être banal, à notre connaissance personne n’utilise cette technique qui accroît solidité, étanchéité et homogénéité de déformation.
- Carres larges, 2×2 mm périphériques ou avec talon ABS selon modèles,
préparation/affûtage -0,5° en inférieur et 88° en latéral
- Semelle graphite (donc noire) P-TEX 4509, dense et glissante,
structurée et imprégnée fart VOLA MX901
Là, on est sur du matériel plus docile, moins exigeant, plus léger. Il conserve une bonne efficacité, une très bonne accroche si vous savez le manier, même s’il n’est pas comparable sur ce point avec un Aluflex. Reste que ses propriétés mécaniques lui confèrent un autre toucher de neige, un autre comportement, un rebond unique quand il est sollicité, les neiges douces sont son royaume!
Construction Fiberflex
On ne va pas en faire des tonnes non plus :
Construction sandwich, de haut en bas : fibre de verre, noyau bois de la spatule au talon et son chant ABS-profilés par ponçage, fibre de verre, semelle et carres, le tout collé à chaud sous presse à l’epoxy.
- Chant totalement périphérique, en ABS, collé solidement au noyau avant son profilage. C’est un détail loin d’être banal, à notre connaissance personne n’utilise cette technique qui accroît solidité, étanchéité et homogénéité de déformation.
- Carres larges, 2×2 mm périphériques ou avec talon ABS selon modèles,
préparation/affûtage -0,5° en inférieur et 88° en latéral
- Semelle graphite (donc noire) P-TEX 4509, dense et glissante,
structurée et imprégnée fart VOLA MX901
Encore une fois, du matériel plus docile, moins exigeant, encore plus léger, d’autant plus léger qu’il est destiné à pratique de la randonnée. L’efficacité est un peu moindre, forcément, c’est la densité du sandwich, et notamment des essences de bois, qui apporte de la tenue sur neiges dures, si on allège, on la perd… Reste que les propriétés mécaniques sont honorables, c’est un compromis, un matériel léger ne sera jamais performant, l’entrée en résonance des matériaux arrive bien plus tôt, et avec elle l’inconfort!
Curieux? Plus de détails…
Les produits fabriqués en sandwich Fiberflex, fibre de verre et noyau bois, se destinent aux glisseurs qui attendent tolérance et facilité d’évolution. En effet, ce type de construction se déforme, se conforme facilement, soumis aux contraintes.
Il en résulte des engins très accessibles, souples et légers, qui conviennent parfaitement aux glisseurs dilettantes comme à ceux qui recherchent un toucher de neige doux, adapté aux neiges fraîches.
Ce type de produits conserve un très bon niveau de performance, n’empêchant pas aux meilleurs d’entre nous de lâcher les freins !
Le type de construction utilisé, un sandwich Fibre de verre / Bois, collé à l’epoxy, est en quelque sorte un standard industriel, à la différence prêt que nous attachons une grande importance à la qualité des matériaux et à leur sélection. La rentabilité n’est pas le premier soucis. Certaines parties sont communes avec la construction Aluflex, nous ne transigeons par sur la qualité.
Les noyaux bois (frêne blanc ou mixés avec bambou, paulownia, peuloier…), sont en fil régulier et continu, sans nœuds ni aboutages, leur profil est calibré par ponçage de la spatule au talon, jusqu’au millimètre, avec une précision au 1/10e de millimètre. Avec ce type de construction associée à une option de noyau allégé, il convient d’intégrer une plaque de phénol pour une meilleure tenue à l’arrachement, le bois utilisé n’étant pas suffisamment dense pour tenir avec un perçage/vissage classique soumis aux contraintes.
Les chants en ABS (une formule spécifique à cette application) viennent épouser avec précision les lignes de côtes et donc les carres. Ils forment une ceinture étanche et résistante autour du noyau. Cette particularité de fabrication, qui demande beaucoup de temps et d’application, contribue à une déformation très homogène et à une solidité qui font la réputation de la marque.
L’utilisation de caoutchouc, est aussi de rigueur, même si bien moindre que dans une construction Aluflex, on le retrouve tout au long de la carre, améliorant la liaison ce celle-ci avec le chant.
La fibre de verre, d’épaisseurs et de couches variables, selon les besoins, apporte un rôle moteur, en ce sens qu’elle restitue l’énergie de déformation, ce qui donne rebond et réactivité aux engins. Fibre bi-directionnelle, câblée. Propriétés mécaniques quadriaxiales, anti-torsions.
En ce qui concerne la glisse, nous utilisons ce qui se fait de mieux en la matière. Cette semelle de densité élevée (la plus efficace sur toutes neiges) P-Tex 4509, est soigneusement structurée et fartée.
Les carres, en acier trempé, larges (2×2 mm) pour plus de solidité et de tenue aux affûtages répétés, sont tunées, négatif en inférieur et positif en latéral. Elles sont la plupart du temps périphériques, formant une solide ceinture autour de l’engin.
Certains modèles ont un talon en ABS.
Construction Green Snowboard
Il y a des secrets, c’est un mix des technologies Aluflex et Fiberflex en ce qui concerne les produits World Cup, avec beaucoup de prototypes et d’évolutions…
Les planches Club sont plus standard, construction Aluflex ou Fiberflex adaptée au SBX, nous réglons les boards en rapport aux informations de gabarit du rider et d’autres paramètres de personnalisation.
Curieux? Plus de détails…
Pas de détails, désolés… C’est toutefois assez performant pour décrocher une médaille olympique…
Il existe une multitude d’autres détails techniques, certains que nous préférons garder pour nous, propres à chaque produit manufacturé…
Pérpétuellement en recherche d’absolu, nous expérimentons sans cesse pour améliorer la qualité de ride, c’est le but ultime. Doser performance et accessibilité des engins produits est le petit secret de l’atelier, ainsi que d’incessantes évolutions à peine perceptibles, mais qui, bout à bout, amènent à progresser, à ne jamais cesser d’évoluer.
ESSENCES DE BOIS
Nous gérons un « cheptel » de bois, de frêne principalement, équipés d’une scie à grumes pour trancher, convaincus qu’une bonne sélection et disposition des fibres de bois reste essentielle, logique.
Utilisation principale de Frêne blanc, abondant en Europe. Dense, ce bois est préféré depuis toujours par les charrons dans la fabrication des charrettes et autres luges à foin, pour sa haute résistance aux impacts et ses qualités homogènes de déformation. Utilisé droit de fil, sans aboutages, de la spatule au talon, aucun nœud ou défaut n’est toléré dans sa sélection. Ce Frêne provient de coupes très proches de l’atelier, en haute vallée du Giffre, pièces sélectionnées par un forestier amoureux du bois. Nous achetons des grumes, débitées par nos soins, selon nos exigences.
Utilisé également, souvent associé au Frêne ou au Bambou, le bois de Paulownia, baptisé ainsi en hommage à la princesse Anna Pavlowna, fille du Tsar de Russie, parce qu’il produit de belles fleurs violettes au printemps… Son utilisation est très répandue en Asie, d’où il est originaire et connu sous le nom de Kiri, les Japonais en font leurs fameuses sandales Geta. C’est un bois à croissance rapide, très léger et assez résistant qui permet de gagner de précieux grammes sur les engins larges ou de randonnée. Il y en a chez nous, en Europe, et y il pousse désormais bien, on importe celui que l’on utilise d’Italie.
Nous avons sourcé, en France, un très bon fournisseur de Peuplier, qui entre dans nos fabrications à destination des rideuses et riders au gabarit léger, c’est une bonne alternative au Paulownia, un peu plus lourd, mais également plus résistant.
Enfin le Bambou. Lui aussi pousse vite. Mais pas chez nous. Il ne s’agit pas d’un bois, mais d’un chaume, provenant d’une graminacée, et donc pas d’un arbre… Nous sommes convaincus par son potentiel, l’utilisons à partir de plateaux en lamellé-collé, stables. Mais il vient de loin, coûte cher en matière grise. Il n’est pas beaucoup plus léger que le Frêne…
Et n’a pas la dynamique de ce Frêne blanc soigneusement sélectionné par les amoureux de beau bois que nous sommes… Vous l’aurez compris, nous préférons le Frêne, question de performance.
FLEX, CAMBRE ET ROCKER
Une déformation longitudinale homogène, appropriée aux contraintes, est la clef d’un produit cohérent dans son comportement sur la neige.
Nous gérons plusieurs flex, en rapport à vos mensurations et aux informations de niveau collectées. Ces flex sont finement réglés par ajustements de la densité et/ou des épaisseurs des matériaux superposés, sur la base de données de nos retours clients, et de vos informations.
Nos plages de flex : S : moins de 65kg – M : de 65 à 80kg – L : de 80 à 95kg – XL : plus de 95kg
Le flex standard de nos produits, déterminé en fonction de chaque modèle test validé, est à notre sens, et donc à celui de nos clients, un bon compromis pour une tranche de poids de 60 à 90 kg. Le matériel disponible en test est sur cette base.
La plupart des produits disposent d’un cambre classique, peu prononcé mais présent, défini par les tests, qui permet d’obtenir des engins dynamiques et joueurs. Ce cambre peut être réglable, personnalisable, sur demande.
Pour finir, un rocker spatule unique et complexe, le Marcel’s Rocker*. Ultra-efficace, facilitant la déjauge, autant que discret. Sous la pression d’une courbe, il s’annule pour que la carre retrouve un contact optimal sur toute sa longueur, améliorant ainsi la tenue et la conduite. Il n’entre pas en vibrations désagréables sur terrain dur et/ou mouvementé, garantissant un grand confort.
* Le Marcel’s Rocker est arrivé du snowboard, via le développement des planches Green, matériel dédié au boardercross, en collaboration avec Marcel Mathieu. Il a été adapté et testé avec succès sur les snowboards, skis, puis monoskis de nos gammes Fiberflex et Aluflex.